- La médecine conventionnelle pour laquelle nous formulons des réserves car elle ne soigne pas tous les maux. Il y a de nombreuses contre-indications et même parfois des scandales liés aux médicaments, ce qui nous rend méfiants.
- Les médecines complémentaires qui semblent plus séduisantes car plus traditionnelles et plus naturelles.
- l’acte de naissance d’AMPERE du 20/01/1775,- les fonds Georges AVEYRON, directeur d’école à la Croix-Rousse,
- le dossier de construction du 1er gratte-ciel en 1930,
- le Palais de Justice,
- l’affiche de la foire de LYON de 1935.
- Celles qui figurent sur le Mur des Lyonnais : Sainte Blandine, Louise Labé, Juliette Récamier et la religieuse Claudine Thévenet
- Les très nombreuses « mères » lyonnaises : La Mère Guy, La Mère Bizolon, La Mère Vittet, La Mère Filloux, La Mère Brazier, La Mère Léa, … et Renée Richard, la Reine du « Saint-Marcellin »
- Les résistantes : Lucie Samuel dite Lucie Aubrac, Denise Jacob, Simone Kadosch-Lagrange, Elise Rivet dite Mère Marie Élisabeth de l’Eucharistie …
- Celles qui ont participé aux œuvres sociales : Jeanne Koehler (Lumière) et Rose Lumière, Philomène Magnin, première femme à siéger au conseil municipal de Lyon et administratrice des Hospices civils de Lyon, les sœurs de l’Hôtel-Dieu…
- Eugénie Niboyet, autrice, militante féministe, participante au premier journal féminin : La femme libre
- Annette Pons de la « Banque veuve Morin-Pons et Morin » aujourd’hui Banque Palatine
Voyage en Campanie
du 28 septembre au 4 octobre 2026
Au programme :
Naples – Pompéi – Herculanum – Paestum – Côte amalfitaine
Téléchargements :
Notice descriptive
Bulletin d’inscription : Word pdf
Date limite d’inscription : 15/12/2025
Conférence déambulatoire « Le quartier Saint-Georges »
Mardi 24 mars 2026 à 9h30
Image : Wikipédia
Lieu : 11 quai de Tilsitt, LYON 2ème (au niveau de l’embarcadère)
Descriptif :
Une conférence déambulatoire, exploration curieuse pour découvrir un autre Vieux Lyon : espace portuaire sous l’empire romain, le quartier Saint-Georges doit son nom à une première église carolingienne siège de l’ordre de Malte.
Date limite d’inscription : 10 mars 2026
Téléchargement : Bulletin d’inscription
Des divinités et des hommes dans l’Occident romain (Ier-IIIe siècle de notre ère)
Mardi 27 janvier 2026 à 14h30
Image : Temple dédié à Isis et Magna Mater à Mayence, Photo du musée. Photo réalisée par la conférencière.
Conférencière :
Madame Audrey Ferlut, docteur en histoire antique – professeur d’histoire-géographie et de discipline non linguistique (DNL) au lycée du Parc
Lieu : Amphithéâtre du lycée du Parc à Lyon 6ème
Descriptif :
La religion est au cœur des civilisations antiques, et l’Empire romain ne fait pas exception. Qu’il s’agisse de la capitale de l’Empire, Rome, ou des provinces de l’Occident romain, dieux et déesses tiennent une place centrale dans la vie des habitants, qu’ils soient ou non citoyens.
La religion est au cœur de la vie de tous les habitants de l’Empire romain. Mais si nos stéréotypes et idées reçues nous poussent à croire en un monde ritualiste, aux pratiques et aux divinités figées, il n’en est rien. Les rituels peuvent certes sembler immuables mais ils relèvent d’appropriation. Quant aux divinités, elles circulent, évoluent et se transforment. Quant aux lieux de culte, ils relèvent d’une construction du paysage, d’une volonté des hommes de façonner des lieux en l’honneur des dieux, selon des codes spécifiques.
Cette conférence vous propose donc un voyage entre pratiques immuables et transformations dans l’Occident romain dans les trois premiers siècles de notre ère.
Date limite d’inscription : 10 janvier 2026
Téléchargement : Bulletin d’inscription
Conférence « La Révolution au sud de Lyon de 1789 à 1800 »
Mardi 16 décembre 2025
Lieu :
Lycée La Martinière Montplaisir
41 rue Antoine Lumière
69008 LYON
Horaire : 14h30
Accès :
Métro A, arrêt «Monplaisir Lumière » ou Tram T2, arrêt « Arrêt Villon »
Descriptif :
Saint-Genis-Laval, Oullins et Pierre Bénite, des communautés villageoises pendant la révolution de 1789 à 1800. Comment les habitants ont vécu au quotidien cette période troublée et fondatrice ? Qui furent les premiers maires élus ? Vous découvrirez également les festivités du 14 juillet 1791 aux Saulaies d’Oullins, le destin tragique des muscadins dans les Lônes en 1793, le rôle des Comités révolutionnaires, le sort des prêtres et des nobles habitant ces communes, le retour à l’ordre en 1800, les apports de cette période à notre vie actuelle.
Conférence d’une heure illustrée de près de 30 documents d’archives, donnée par Mme Marie-Noëlle Gougeon, enseignante et journaliste, auteure de « Pierre-Bénite, de la Terre au Fleuve, une mémoire engloutie ».
Date limite d’inscription : 20 novembre 2025
Téléchargement :
Bulletin d’inscription
Conférence « Les médecines complémentaires, que dit la science ? »
Mardi 14 octobre à 14h30
Conférencier : M. Dominique LE GUELLEC, professeur des Universités honoraire
C’est devant un auditoire d’une trentaine de personnes que cette conférence s’est tenue salle Lorenti du Lycée Ampère.

Pour nous soigner nous faisons appel à deux types de médecines :
Ces médecines complémentaires sont très nombreuses et comptent plus de 400 disciplines telles que l’acupuncture, la phytothérapie, la réflexologie, la sophrologie, l’hypnose…
Pour juger de l’efficacité de ces médecines on doit se baser sur des preuves. Il ne faut jamais se fier à un produit ou à un protocole qui n’a pas fait l’objet d’essais cliniques et qui n’a pas donné lieu à des publications. Les tests scientifiques sont le meilleur moyen d’établir une vérité médicale et d’éliminer toute procédure inefficace basée sur la tradition, le dogme, la mode, le marketing ou l’anecdote.
Ainsi la saignée que l’on a pratiquée depuis l’époque de la Grèce antique jusqu’au 18ème siècle a seulement fait l’objet d’essais cliniques en 1809. Ceux-ci ont montré qu’elle provoquait d’avantage la mort des patients que leur guérison mais ces résultats n’ont pas été publiés et on a continué à la pratiquer. Aujourd’hui la saignée est seulement utilisée pour certaines pathologies.
De nos jours, les résultats des essais cliniques qui ont donné lieu à publication sont disponibles sur PubMed (https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed).
Puis est abordé le cas de l’acupuncture. Celle-ci qui date sans doute de plus de 2000 ans avant notre ère a été diversement pratiquée. En 1990, on comptait 88 000 acupuncteurs et 20 millions de patients soignés. Parmi les théories qui peuvent expliquer son efficacité contre la douleur on trouve celle de l’effet placebo (je plairai). Il est le résultat de la force de notre esprit qui permet à une substance ou à un protocole qui n’a aucune action pharmacologique propre d’avoir un effet positif remarquable. Il a été démontré dans de nombreux champs d’application (douleur, insomnie, allergies, anxiété, maladie de Parkinson…). De nombreux stimulateurs semblent l’influencer tels que la couleur du médicament, son mode d’administration, son coût… Il dépend de la croyance et des expériences du patient, d’où l’existence d’une grande variabilité dans les résultats et la nécessité d’effectuer des essais cliniques en double aveugle.
Le cas de la phytothérapie, et notamment l’utilisation du millepertuis, nous est présenté. Utilisé par les guérisseurs depuis 2000 ans pour soigner différentes pathologies (sciatique, arthrose, diarrhée…), il est un des produits le plus vendu en phytothérapie. Il présente cependant des effets secondaires car il contient des composés chimiques qui peuvent interférer avec plus de la moitié des médicaments prescrits. Ce sont les effets nocebo (je nuirai). Le côté le plus dangereux des remèdes utilisés en phytothérapie (ou tout autre protocole proposé par les médecines alternatives) est de remplacer un traitement conventionnel efficace.
On peut faire également appel aux méthodes de guérison par la pensée comme la méditation de pleine conscience qui peut, en améliorant la gestion des émotions, modifier les circuits de réponse à la douleur ou aux techniques de neurofeedback telles que l’électroencéphalographie ou l’IRM fonctionnelle en temps réel qui agissent directement sur le cerveau.
En conclusion le développement de la médecine, qu’elle soit conventionnelle ou complémentaire nécessite un équilibre entre deux attitudes contradictoires : le scepticisme et l’ouverture d’esprit.
Jean-Marie Pallier
Voyage en Alsace
Du mardi 7 au vendredi 10 octobre 2025
Compte-rendu
1er jour :
Accueillis par notre chauffeur Michel, nous partons de Lyon à 6h30.
Après un voyage agréable, nous arrivons à la Résidence Les Rives de la Fecht à Ingersheim pour déjeuner. C’est ici que nous logerons dans de petits studios confortables, parfaitement équipés et prendrons la plupart de nos repas.
La première après-midi fut consacrée à la visite guidée de Turckheim, visite conduite par notre guide Géraldine qui nous accompagnera tout au long de notre séjour. À l’entrée, le « Veilleur de nuit » nous accueille : il s’agit d’une statue métallique représentant ce veilleur, qui, autrefois, circulait dans le village pour indiquer aux habitants de penser à éteindre les bougies (risque d’incendie) et leur confirmer qu’il veillait sur eux. Encore aujourd’hui, tous les soirs à 22h, de mai à septembre, on peut assister au chant du veilleur qui maintient ainsi la tradition.
Nous remarquons également un nid de cigogne. Ces nids sont énormes et peuvent atteindre un poids de plusieurs centaines de kg, voire d’une tonne, car le mâle chaque année se réapproprie son nid en revenant de migration entre février et mai. Nous en verrons de nombreux sur les toits des villages visités.
Nous admirons ensuite les belles maisons à colombages. Nous y distinguons entre autres les croix de Saint-André – symboles de fécondité – , des figures en losange illustrant la fertilité, la chaise curule – symbole que la maison appartient à un personnage important -ou encore le Mann – poutre verticale étayée par des poutres obliques à fonction technique mais qui a acquis également une signification symbolique de force et de virilité. Ce système de colombages permet d’absorber les vibrations des séismes fréquents en Alsace. La légendaire précision alsacienne se remarque également au fait que chaque poutre est numérotée, ce qui permettrait – le cas échéant – de reconstruire la maison à l’identique. Les soubassements des maisons sont souvent construits en grès rose, le grès jaune étant réservé aux bâtiments officiels. La pierre protège les bois de l’humidité du sol.
Nous arrivons ensuite au Musée Mémorial des Combats de la Poche de Colmar (combats entre l’armée française du Général De Lattre de Tassigny et l’armée allemande après le débarquement en Provence d’août 1944) puis à la Porte du Brand, l’une des trois portes défensives de Turckheim. Brand signifie « feu », c’est la terre alsacienne rougie par le feu et le sang du dragon (légende alsacienne remontant au 4ème siècle). Sur ce sol riche, les hommes plantèrent de la vigne ; aujourd’hui l’un des grands crus alsaciens porte ce nom.
Sur la Route des vins nous nous arrêtons à la cave Stoecklé où nous attend une dégustation de différents vins d’Alsace (Crémant, Riesling, Gewurztraminer,…) ; elle est suivie par une visite des installations : les cuves, la salle d’étiquetage… Beaucoup repartent avec des bouteilles à ouvrir plus tard…
2ème jour : Colmar, le château du Haut Koenigsbourg et Ribeauvillé
Nous débutons la visite de Colmar avec la Maison des Têtes. Construite en 1609 pour le compte du marchand Anton Burger, ce bel édifice de la Renaissance allemande doit son nom aux 106 têtes ou masques grotesques qui ornent une riche façade sur laquelle s’élève un oriel de trois étages. Le pignon de l’édifice est surmonté de la statue d’un Tonnelier (1902), œuvre d’Auguste Bartholdi qui répondait à une commande de la Bourse aux vins qui s’était installée dans l’immeuble en 1898. La Maison des Têtes a été l’objet d’une restauration en 2012 et abrite maintenant un hôtel de luxe.
Dans la rue des Têtes nous pouvons également admirer la façade de la Maison Hansi et de son musée et bien sûr quelques-unes des enseignes dues à Jean-Jacques Waltz (surnommé Hansi) comme celle des deux frères charcutiers Les Finker, celle de la boulangerie Martin Musslinn et celle de la pharmacie du Cygne.
Nous poursuivons notre balade dans la vieille ville ; nous nous arrêtons devant la Collégiale Saint- Martin construite de 1235 à 1365 et pénétrons dans la cour de la maison natale d’Auguste Bartholdi (1834-1904) qui abrite le musée consacré à ce grand sculpteur. Nous parcourons la rue des Marchands avec ses nombreuses boutiques de délicieuses pâtisseries, ses magasins de souvenirs et ses magnifiques maisons à colombages avec notamment la maison Pfister datant de 1537 construite pour le chapelier Ludwig Scherer. Puis nous empruntons la rue des Tanneurs qui serpente dans la vieille ville, créant ainsi des courants d’air permettant aux peaux de sécher dans les hauteurs des immeubles. Nous atteignons Le Koïfhus (l’Ancienne Douane) achevé en 1480, le plus ancien bâtiment public de la ville. Mentionné pour la première fois en 1370, il servait au dépôt et au transit de toutes les marchandises importées à Colmar.
Sur la place de l’ancienne douane se trouve la fontaine Swendi surmontée d’une statue en bronze représentant Lazare de Swendi (chef de guerre au service de Maximilien II). Il partit combattre les Turcs en Hongrie d’où il aurait rapporté le cépage de Tokay. Le sculpteur qui n’est autre qu’Auguste Bartholdi lui a fait ainsi brandir un cep de vigne. En réalité les cépages alsaciens n’ont rien à voir avec ce Tokay.
Nous avons pu profiter d’un moment de temps libre. Certains se sont rendus au Musée Unterlinden pour y découvrir le magnifique Retable d’Issenheim. Longtemps attribuée à tort à Albrecht Dürer, la paternité des peintures et sculptures l’est désormais à Grünewald et Nicolas de Haguenau et c’est dans l’atelier de ce dernier que l’ensemble du retable a probablement été exécuté au début du 16ème siècle. Entièrement restauré, ce polyptyque composé de panneaux peints et d’une caisse sculptée présente des épisodes de la vie du Christ et de Saint Antoine.
Nous arrivons enfin aux canaux de la Petite Venise pour emprunter deux barques et faire une balade agréable en écoutant les commentaires et l’humour des bateliers.
Le château du Haut Koenigsbourg
L’après-midi nous visitons ce château fort érigé au 12ème siècle par les Hohenstaufen (dynastie de nobles germaniques des 11ème et 12ème siècles). C’est le château du roi (Koenig = roi). Il domine la plaine du haut des 757 m du piton rocheux sur lequel il est construit. Il fut détruit en grande partie au 15ème siècle. Reconstruit et agrandi, il est à nouveau détruit et pillé par les mercenaires suédois à la solde du roi de France durant la guerre de Trente Ans (guerre qui opposait des puissances européennes dont la France au Saint Empire romain germanique). Le château reste ainsi, pratiquement rasé, durant deux siècles. Suite à l’annexion de l’Alsace en 1871, l’empereur Guillaume II décide de sa reconstruction confiée à l’architecte Bodo Ebhardt. Ainsi le château renaît après 8 ans de travaux. C’est en 1919, à l’issue de la Première Guerre Mondiale, que le château devient propriété de l’État français. D’autres travaux suivront, actuellement c’est le Bastion sud qui est en cours de restauration.
Sur le chemin de retour nous faisons une halte à Ribeauvillé. Située sur la Route des Vins la cité était au Moyen-Âge le siège de la Seigneurie de la famille des Ribeaupierre (d’où le nom de la ville de Ribeauvillé). Les Ribeaupierre firent construire trois châteaux forts, dont les ruines dominent encore aujourd’hui majestueusement la cité et les collines environnantes : le château St-Ulrich, (le plus ancien et le plus important), le château Girsberg et le château Haut-Ribeaupierre, (comme son nom l’indique, le plus élevé).
De ses fortifications médiévales la ville conserve encore aujourd’hui une partie de son mur de remparts et certaines de ses tours défensives, dont la » Tour des Bouchers » (du 13ème siècle, reconstruite au 18ème), qui doit son nom à la corporation des Bouchers (chargée, en cas d’attaque de défendre la ville à partir de cette tour).
La Grand’rue et ses quartiers pittoresques, bordés de constructions abondamment fleuries (du 15ème au 18ème siècle), sont jalonnés de places ornées de fontaines de style Renaissance.
De nombreuses fêtes rythment le calendrier des manifestations de cette commune, notamment le » Pfifferdaj » (fête des Ménétriers) qui perpétue le souvenir des réunions de la Confrérie des ménétriers d’Alsace qui se réunissait depuis 1481 à Ribeauvillé pour y élire leur roi. Lire la suite
Visite des archives municipales de Lyon
Mardi 30 septembre 2025
Visite des archives municipales de LYON
Visite guidée par Madame Marie-Liesse ZAMBEAUX, médiatrice culturelle.

En 1998, la ville de LYON fait le choix de transférer les archives municipales dans l’ancien centre de tri postal derrière la gare de Perrache.
Dès 1999, c’est le cabinet Albert Constantini qui réhabilite ce lieu en plusieurs étapes. En effet, il existait des contraintes de surcharge au sol, des conditions de conservation et de sécurité.
Il n’y a pas de lumière dans les vingt-deux locaux de stockage et un système de ventilation et de climatisation évite les chocs thermiques.
Mémoire de la ville, les archives sont accessibles à tous et proposent des visites des fonds numérisés.
Conservées depuis le XIIIe siècle, les archives réunissent les documents issus de l’activité de la ville : état civil, urbanisme, architecture, actions sociales, culture, sport, etc… et des collections privées viennent compléter le tout.
Il existe une collection très riche de plans, de photos, d’affiches, de cartes postales…
Les archives organisent aussi des expositions, des conférences, des ateliers pédagogiques et des spectacles.
Nous visitons l’espace de déchargement, la salle d’attente des documents qu’il faut inspecter avec minutie pour éviter les contaminations, la salle de tri, des magasins de stockage de documents variés et de tout taille et la salle de lecture.
Des documents très intéressants nous sont présentés :

Avec curiosité et intérêt, dix-sept amopaliens ont découvert ce lieu bien souvent méconnu.
Escapade en Suisse
Du mardi 24 juin au mercredi 25 juin 2025
En ce matin du 24 juin nous embarquons dans un car de la société Chabannes pour une escapade de deux jours en Suisse.
Au programme : La visite de la fondation Pierre Gianadda à Martigny, une nuit en montagne dans la station des Mosses puis la visite de Chaplin’s World et de Montreux.
« Les femmes qui ont marqué Lyon »
Mardi 13 mai 2025 à 14h20
Accompagnés par une guide conférencière de l’Office de Tourisme OnlyLyon, les participants à cette conférence déambulatoire dans la presqu’île ont découvert ou redécouvert les très nombreuses femmes célèbres de Lyon :
Et d’autres… Lire la suite
Conférence « La cybersécurité »
Vendredi 11 avril 2025 à 14h30
Lieu : Lycée La Martinière Montplaisir
41 rue Antoine Lumière
6907 Lyon
Compte-rendu :
Messieurs Pierre-Emmanuel VINCENT et Lucas FERRAND de l’entreprise lyonnaise IndustriOT (société spécialisée dans la cybersécurité industrielle, fondée par des experts cumulant plus de 45 ans d’expérience et dont la mission est d’assurer la résilience des infrastructures critiques face aux menaces cyber et de garantir la souveraineté numérique des industries), nous ont présenté les organismes institutionnels et industriels en corrélation avec la cybersécurité ainsi que les risques liés aux différents types de cyber attaque.
L’exposé portait également sur les différents moyens de se protéger pour renforcer les liaisons informatiques du téléphone à l’ordinateur.

En conclusion, une belle intervention, agrémentée d’une présentation commentée, répondant aux questions des participantes et participants qui sont sortis très satisfaits.
Evaluation des activités anti-inflammatoires des microalgues de Nouvelle-Calédonie
01/04/2025
Compte rendu résumé du travail de Mme Léa Corbet, Master’s student in Biology-Ecole Normale Supérieure de Lyon
Léa Corbet a obtenu une bourse de la section du Rhône et de la Métropole de Lyon de l’AMOPA afin de mener à bien une étude scientifique en Nouvelle Calédonie. Elle a présenté brillamment ses travaux lors de l’Assemblée générale de la section, le 1er avril 2025.
Une journée au Musée Claude Bernard
Vendredi 14 mars 2025
Lieu :
Musée Claude Bernard
414, route du musée- 69640 Saint-Julien-sous-Montmelas
Le musée Claude Bernard est installé dans la gentilhommière, adjacente à sa maison natale, qu’il avait acquise en 1861. La maison natale a été restaurée en 1915. L’ensemble appartient à la communauté de communes de Villefranche-sur-Saône. L’association Claude Bernard est récente, née en 2020. Ce musée, ouvert aux visites, propose une animation scientifique autour du thème « la médecine pour tous » ainsi qu’un cycle de conférences (une fois par mois) sur des sujets biomédicaux.
Claude Bernard est né et a été baptisé à Saint Julien le 12 juillet 1813 d’un père négociant. Après des études au collège jésuite du village puis au collège royal de Thoissey, il échoue au baccalauréat. Ses parents le place alors comme apprenti pharmacien chez Millet à Vaise. Peu motivé, il écrit un vaudeville « Rose du Rhône » puis une pièce de théâtre « Arthur de Bretagne » qui n’ont pas de succès retentissant. Son père l’envoie alors à Paris pour rencontrer Marc Girardin afin d’évaluer ses compétences littéraires. Ayant été rejeté par ce dernier, il décide de repasser le baccalauréat à 21 ans, en 1834. Il est admis au rattrapage. Il se lance, par défaut, dans la médecine. Après son internat en 1829, il devient assistant de recherche au collège de France et se passionne pour la recherche et l’expérimentation animale. Il passe sa thèse de médecine à 30 ans, le 7 décembre 1843 : « du suc gastrique et de son rôle dans la nutrition ». Le 17 mars 1853, il soutient son doctorat de sciences naturelles : « recherche sur une nouvelle fonction du foie ».
Conférence « L’eau La Vie… ou L’eau dans notre organisme »
Mardi 11 février 2025 à 14h30
Conférencier :
M. Dominique LE GUELLEC, professeur honoraire de l’université Claude Bernard Lyon 1
Lieu :
Lycée Ampère — Salle Lorenti — 13 bis quai Jean Moulin — Lyon 2
Métro A : arrêt : Cordeliers
Conférence “Les lumières oubliées de Cochinchine”
Jeudi 5 décembre 2024
Compte-rendu de la conférence « Les lumières oubliées de Cochinchine » faite par M. Yves Condemine, le jeudi 5 décembre au Lycée Pierre Brossolette de Villeurbanne.
Sortie « Street Art »
Mardi 15 octobre 2024
Une conférence déambulatoire du mur peint des Canuts au mur peint des célébrités.
Cette sortie accompagnée par un guide de l’Office de tourisme « ONLYLYON Tourisme » nous a permis de découvrir cet art de rue, art à contre-courant né en 1970 à New York et Chicago.
C’est une façon illégale de s’exprimer sur l’espace public. Mais ce n’est pas du vandalisme comme les tags. Les artistes utilisent diverses techniques comme les bombes de peinture, les feutres indélébiles, la mosaïque, les feutres, le collage, les autocollants, le graff, le yarn, le vinyle….
Aujourd’hui, Lyon continue d’être un vivier d’artistes qui prennent la rue comme une galerie à ciel ouvert.
Par définition éphémère, le Street Art, tout en papiers collés, fresques bombées ou peintes, pochoirs, mosaïques, vinyles, mousse végétale… montre l’extraordinaire inventivité de ces artistes qui ont désigné la Croix-Rousse comme berceau initial de leur création, et qui s’est largement diffusé dans d’autres quartiers de Lyon.
Les œuvres sont régulièrement nettoyées par les services municipaux mais certaines reviennent vite au même endroit comme le mammouth de Lasco et le bouquet de roses du groupe Lacoulure.
Des sponsors autorisent des œuvres sur des murs pour une durée d’un an.
Voyage en Crète
Du 26/09/2024 au 03/10/2024
Le groupe de 27 amopaliens participants à ce voyage a eu le plaisir de visiter de nombreux sites et palais minoens1 de l’île de Crète dès le lendemain de son arrivée :
Les gorges de la Loire et « l’aventure du train »
16 mai 2024
Une croisière sur la Loire et la visite du site de l’aventure du train à Andrézieux-Bouthéon
Le jeudi 16 mai, nous partons sous une pluie battante pour arriver au port de Saint-Victor sur Loire avec un rayon de soleil. Notre bateau va glisser doucement dans les gorges escarpées et verdoyantes parsemées de vestiges et de châteaux perchés. Nous écoutons les commentaires de notre guide en dégustant un excellent repas. Lire la suite
Conférence « Moi, Pierre Brossolette, un résistant dans l’âme »
jeudi 8 février 2024
Compte-rendu de la conférence « Moi, Pierre Brossolette, un résistant dans l’âme » faite par M. Jean-Paul Chich, proviseur honoraire du Lycée Pierre Brossolette de Villeurbanne, le jeudi 8 février au Lycée Pierre Brossolette de Villeurbanne
Conférence de Monsieur CLERET « Jean Giono, le voyageur immobile »
25 janvier 2024
La conférence a eu lieu le 25 janvier au lycée Ampère Bourse.
Monsieur CLERET est psychiatre mais aussi passionné par la prose poétique et tout particulièrement les ouvrages de Jean Giono. Il a écrit un livre dans lequel il se met à la place de Jean Giono. Issu d’une famille modeste, Giono a publié de nombreux romans dont « Le grand troupeau » en 1931 à propos de la guerre, « Que ma joie demeure » montrant que la société est un bien commun qu’il ne faut pas négliger. Il s’établit près de Manosque au Paraïs, écrit chaque jour plusieurs pages mais voyage peu d’où l’intitulé de la conférence. Son ouvrage « L’homme qui plantait des arbres » est d’actualité : il évoque la décroissance. Pacifiste, il est même emprisonné à l’issue de la seconde guerre mondiale alors qu’il avait hébergé des juifs et des résistants ! Lire la suite
Mémorial national de Montluc & Conférence « les derniers jours de Jean Moulin »
22 décembre 2023
Visite du mémorial
Le 12 décembre 2023, le groupe d’une quarantaine de personnes se retrouve devant l’entrée de l’ancienne prison. C’est une jeune historienne, qui nous présente de façon très détaillée et dynamique, l’histoire de la prison depuis 1921 et reconvertie aujourd’hui en mémorial. Elle servit successivement de prison militaire, puis, après la seconde guerre mondiale à incarcérer des détenus politiques opposés au régime de Vichy,
Conférence sur l’ISS
14 décembre 2023
Où en est-on des vols ISS ? Bientôt la Lune ?
Conférence de Monsieur Lionel FERRA – le 24 novembre à l’INSPÉ
Monsieur FERRA nous présente les missions de l’Agence Spatiale Européenne (ESA) : de l’observation de l’univers à celle de la Terre en passant par l’étude des planètes du système solaire et de leurs satellites.
Voyage à Madrid
7 novembre 2023
Nos impressions
Ce voyage, organisé du 26 septembre au 2 octobre, a permis à vingt Amopaliens de (re)découvrir cette magnifique capitale espagnole. Notre première impression est l’ambiance de la ville très animée, très propre, très ouverte avec de magnifiques bâtiments et beaucoup de verdure. Nous sommes dans la capitale « la plus verte » d’Europe. Nous sommes accompagnés par Marisol (notre guide) qui connaît parfaitement la ville, l’Histoire non seulement espagnole mais aussi française, italienne ou allemande et sait interpréter les nombreuses œuvres d’art rencontrées aussi bien dans les domaines du bâti, de la sculpture, de la peinture …
Sortie automne
19 octobre 2023
Programme de la journée :
Découverte commentée et guidée de sites naturels, de hameaux typiques, de maisons vigneronnes, d’ouvrages d’art. Les Gorges de l’Ain font partie de sites labellisés ENS (Espaces Naturels Sensibles) où la biodiversité est préservée.
Déjeuner au restaurant « Le Panoramique à Cerdon ».
Visite des soieries Bonnet, l’une des plus grandes usines de tissage de soie d’Europe.
Trente Amopaliens et amis se sont retrouvés le 19 octobre pour cette sortie dans la vallée de l’Ain.
Escapade en Bourgogne
du 19 au 23 juin 2023
Cette escapade a été placée sous le signe de l’histoire et du patrimoine.
La gastronomie figurant désormais au patrimoine mondial de l’UNESCO, c’est tout naturellement que quatre visites ont été prévues concernant les spécialités bourguignonnes : la moutarde, le pain d’épices le cassis et bien sûr, le vin !
Les sites visités ont permis de retracer l’histoire, la fabrication et le rayonnement culturel et commercial de ces produits. Une mention toute particulière pour le Clos Vougeot et la confrérie des chevaliers du Tastevin.
La cité de la gastronomie à Dijon a clôturé en beauté ce périple.
Les roses de Lyon
26 mai 2023
Les roses de Lyon
Daniel BOULENS, président de la société des roses de Lyon, nous a présenté le 28 mars 2023 le monde fascinant des roses et l’histoire que la ville de Lyon entretient avec la reine des fleurs. Au-delà de la simple beauté de la fleur, c’est tout un pan culturel et économique qu’il nous a fait découvrir. Ce fut un véritable plaidoyer pour plus de nature et de végétal dans nos villes en tenant compte des évolutions du climat. Lire la suite
Visite du Musée des Beaux Arts
25 mai 2023
La collection égyptienne du département des Antiquités est la plus grande de France après celle du Musée du Louvre. C’est ainsi que deux mille six cents pièces de la collection égyptienne conservées au Musée des Beaux-Arts de Lyon sont exposées le long d’un parcours de trois salles à la fois thématique et chronologique, ce qui nous permettra d’avoir un aperçu de la vie quotidienne en Egypte antique.
Le ciel et ses légendes
29 décembre 2022
Conférence de Jean-Marie et Michèle PALLIER
La salle Lorenti du Lycée Ampère convenait bien à l’évocation de l’enseignement de l’astronomie dans cet établissement depuis le 17e siècle jusqu’à nos jours.
Visite du Lycée Ampère et de la chapelle de la Trinité
23 novembre 2022
Visite du lycée Ampère
Issu de l’école des Trinitaires fondée en 1519, le lycée Ampère a traversé l’histoire sous différentes dénominations : Grand collège sous l’Ancien Régime, École centrale sous la Convention, Lycée impérial sous l’Empire, Collège royal sous la Restauration et la monarchie de Juillet, Lycée de Lyon après la Révolution de 1848, puis lycée polyvalent régional en 1986 en application des lois de décentralisation. La visite à travers les bâtiments, les espaces intérieurs, les cours et les espaces mémoriels nous a fait marcher dans les pas d’élèves illustres tels que Charles Baudelaire et Alphonse Daudet, mais aussi dans ceux du professeur André-Marie Ampère dont le lycée a pris le nom en 1888.
Voyage en Sicile
26 septembre au 3 octobre 2022
L’itinéraire du voyage du 26 septembre au 3 octobre 2022
Après l’accueil à l’aéroport de Palerme, nous visitons successivement Monreale puis Palerme (les catacombes, un cloitre, la cathédrale et quelques sites remarquables de la ville). Après Ségeste et Sélinonte, nous arrivons à Agrigente pour visiter notamment la vallée des temples et la villa del Casale. Catane, Syracuse puis l’Etna et Taormine sont ensuite admirés. Puis Messine, Cefalu avec sa cathédrale nous ramènent à Palerme pour terminer le voyage de 8 jours.
Voyage dans le Berry
Du 20 au 23 juin 2022
Compte rendu du voyage dans le Berry effectué du 20 au 23 juin 2022
En complément de ce compte rendu, des « coups de cœur » marqués d’une * sont rédigés dans le « Recueil des activités culturelles 2022 ».
Loin des foules et des clichés habituels, le Berry garde des trésors bien cachés qu’il révèle à ceux qui savent sortir des sentiers battus.
« Madagascar, un pays méconnu »
24 mai 2022
Conférence de Roland Albignac du 24 mai 2022
L’île de Madagascar, ancienne colonie française ne fait pas la une de l’actualité.
Roland Albignac, professeur d’université, grand voyageur et ami de Madagascar où il a séjourné longuement, porte sur ce pays un regard d’écologue, d’humaniste et de bon connaisseur du terrain.





