Visite des archives municipales de Lyon

    Mardi 30 septembre 2025

    Visite des archives municipales de Lyon

    Visite des archives municipales de LYON

    Visite guidée par Madame Marie-Liesse ZAMBEAUX, médiatrice culturelle.

    En 1998, la ville de LYON fait le choix de transférer les archives municipales dans l’ancien centre de tri postal derrière la gare de Perrache.

    Dès 1999, c’est le cabinet Albert Constantini qui réhabilite ce lieu en plusieurs étapes. En effet, il existait des contraintes de surcharge au sol, des conditions de conservation et de sécurité.

    Il n’y a pas de lumière dans les vingt-deux locaux de stockage et un système de ventilation et de climatisation évite les chocs thermiques.

    Mémoire de la ville, les archives sont accessibles à tous et proposent des visites des fonds numérisés.

    Conservées depuis le XIIIe siècle, les archives réunissent les documents issus de l’activité de la ville : état civil, urbanisme, architecture, actions sociales, culture, sport, etc… et des collections privées viennent compléter le tout.

    Il existe une collection très riche de plans, de photos, d’affiches, de cartes postales…

    Les archives organisent aussi des expositions, des conférences, des ateliers pédagogiques et des spectacles.

    Nous visitons l’espace de déchargement, la salle d’attente des documents qu’il faut inspecter avec minutie pour éviter les contaminations, la salle de tri, des magasins de stockage de documents variés et de tout taille et la salle de lecture.

    Des documents très intéressants nous sont présentés :

    • l’acte de naissance d’AMPERE du 20/01/1775,- les fonds Georges AVEYRON, directeur d’école à la Croix-Rousse,
    •  le dossier de construction du 1er gratte-ciel en 1930,
    •  le Palais de Justice,
    • l’affiche de la foire de LYON de 1935.

    Avec curiosité et intérêt, dix-sept amopaliens ont découvert ce lieu bien souvent méconnu.

    « Les femmes qui ont marqué Lyon »

    Mardi 13 mai 2025 à 14h20

    « Les femmes qui ont marqué Lyon »

    Accompagnés par une guide conférencière de l’Office de Tourisme OnlyLyon, les participants à cette conférence déambulatoire dans la presqu’île ont découvert ou redécouvert les très nombreuses femmes célèbres de Lyon :

    • Celles qui figurent sur le Mur des Lyonnais : Sainte Blandine, Louise Labé, Juliette Récamier et la religieuse Claudine Thévenet
    • Les très nombreuses « mères » lyonnaises : La Mère Guy, La Mère Bizolon, La Mère Vittet, La Mère Filloux, La Mère Brazier, La Mère Léa, … et Renée Richard, la Reine du « Saint-Marcellin »
    • Les résistantes : Lucie Samuel dite Lucie Aubrac, Denise Jacob, Simone Kadosch-Lagrange, Elise Rivet dite Mère Marie Élisabeth de l’Eucharistie …
    • Celles qui ont participé aux œuvres sociales : Jeanne Koehler (Lumière) et Rose Lumière, Philomène Magnin, première femme à siéger au conseil municipal de Lyon et administratrice des Hospices civils de Lyon, les sœurs de l’Hôtel-Dieu…
    • Eugénie Niboyet, autrice, militante féministe, participante au premier journal féminin : La femme libre
    • Annette Pons de la « Banque veuve Morin-Pons et Morin » aujourd’hui Banque Palatine

    Et d’autres… Lire la suite

    Une journée au Musée Claude Bernard

    Vendredi 14 mars 2025

    Une journée au Musée Claude Bernard

    Lieu : 
    Musée Claude Bernard
    414, route du musée- 69640 Saint-Julien-sous-Montmelas

    Le musée Claude Bernard est installé dans la gentilhommière, adjacente à sa maison natale, qu’il avait acquise en 1861. La maison natale a été restaurée en 1915. L’ensemble appartient à la communauté de communes de Villefranche-sur-Saône. L’association Claude Bernard est récente, née en 2020. Ce musée, ouvert aux visites, propose une animation scientifique autour du thème « la médecine pour tous » ainsi qu’un cycle de conférences (une fois par mois) sur des sujets biomédicaux.

    Claude Bernard est né et a été baptisé à Saint Julien le 12 juillet 1813 d’un père négociant. Après des études au collège jésuite du village puis au collège royal de Thoissey, il échoue au baccalauréat. Ses parents le place alors comme apprenti pharmacien chez Millet à Vaise. Peu motivé, il écrit un vaudeville « Rose du Rhône » puis une pièce de théâtre « Arthur de Bretagne » qui n’ont pas de succès retentissant. Son père l’envoie alors à Paris pour rencontrer Marc Girardin afin d’évaluer ses compétences littéraires. Ayant été rejeté par ce dernier, il décide de repasser le baccalauréat à 21 ans, en 1834. Il est admis au rattrapage. Il se lance, par défaut, dans la médecine. Après son internat en 1829, il devient assistant de recherche au collège de France et se passionne pour la recherche et l’expérimentation animale. Il passe sa thèse de médecine à 30 ans, le 7 décembre 1843 : « du suc gastrique et de son rôle dans la nutrition ». Le 17 mars 1853, il soutient son doctorat de sciences naturelles : « recherche sur une nouvelle fonction du foie ».

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